Habitudes et techniques de base |
Vous êtes un p'tit nouveau, une p'tite nouvelle dans le monde du Paintball ?? Ou bien vous croyez être un vétéran, du moins quelqu'un d'expérimenté ?? À vous de le croire ou non. Mais sachez que tout le monde n'est pas bon joueur, croyez-en mon expérience. Quoi qu'il en soit, je considère que pour être talentueux ou talentueuse au Paintball, il faut posséder certaines aptitudes de base que malheureusement pas tous les joueurs ont développé, même après plusieurs années d'expérience. Je vais donc vous expliquer les habitudes et les techniques de base que je considère importante dans ce sport. Tout d'abord, vous devez savoir que votre survie sur un terrain ne dépend que de trois, et uniquement trois facteurs, soit les autres joueurs de votre équipe, votre expérience... ET VOS SENS !! En ce qui concerne les autres joueurs de votre équipe, vous n'avez à peu près aucun contrôle sur ce facteur si ce n'est qu’avec de l’entraînement, comme par exemple si vous êtes membre d'une équipe expérimenté. L'expérience quant à elle représente l'aspect technique du jeu et j'en parlerai donc un peu plus loin dans cet article. Je vais donc plutôt vous parler de vos sens, aspect que tout le monde néglige sans s’en rendre compte, sous l’influence de l’insoutenable adrénaline. LES SENS ÉCOUTER - Lors d'une partie, la cohue s'installe souvent. Les
balles qui sifflent, les joueurs qui crient, le son de détonation
des marqueurs, sans parler de votre propre souffle (même si ça
peut sembler anodin), et encore bien plus. Tous ces bruits cachent souvent
des informations importantes et j'ai souvent remarqué à
quel point les joueurs n'y portent pas attention. Exemples : OBSERVER - Les causes d'élimination les plus fréquentes sont celles où le tire adverse proviens d’où on ne s’y attend pas. Combien de fois est-ce qu'on entend un joueur dire à un autre: "tu m'as bien eu... je t'ai jamais vu venir". Il est peut-être important de rester inaperçu par l'adversaire lors d'une partie, mais il est aussi important de chercher les menaces d'où qu'elles viennent. Regardez souvent autour de vous. Prenez le temps de bien regarder l'environnement. Ce dernier peut cacher des indices. Du feuillage qui bouge, par exemple, est rarement la cause du passage d'un orignal devant vous!! Même si ça peut être autre chose qu'un joueur adverse qui se déplace en rampant, gardez un œil dans la direction du mouvement ... juste au cas! Dans une fusillade, regardez de temps en temps autour de vous, et surtout derrière vous. Vos collègues peuvent être suffisamment expérimentés pour couvrir vos flancs, mais même les meilleurs se font éliminer. Le tout est autant valable sur les terrains intérieurs où souvent les jeux de lumières sont de bons moyens de détecter les mouvements. LA TECHNIQUE Pour ce qui est de la technique ou plutôt de la base, il faut faire appel au gros bon sens. Malheureusement, ça demande un effort de concentration et de prendre le temps de réfléchir en pleine action. Et ça se résume tant qu’à moi à réfléchir à ce qui suit ou tout de moins en partie. S’IMMOBILISER - Encore une fois, il est important de ne pas se faire voir de l'adversaire dans la mesure du possible et je n’apprends sûrement pas ça à personne. La surprise est souvent un facteur déterminant et c'est pourquoi, sur les terrains boisés, les habits camouflés sont favoris. Encore faut-il savoir se servir de l'environnement pour s'y fondre, et c’est là l’erreur de plusieurs. La première chose à se rappeler (même si on le sait tous) est qu'un humain voit généralement un angle de 180 degrés, soit 90 degrés de chaque côté de sa tête. Donc même à côté d'un adversaire, vous risquez de vous faire voir. Je dis "vous risquez" parce que si vous restez immobile (même à découvert), vos chances sont nettement plus grandes de demeurer inaperçu. Par contre, couchez-vous brusquement sur le sol parce que vous venez de voir cet adversaire qui ne vous regarde pas, et si vous êtes sans son angle de vision, même à 90 degrés tout juste, il y a fort à parier que vous recevrez une pluie de balles de sa part. Le mouvement est votre ennemi, ne l’oubliez jamais!! Demeurez immobile entre vos déplacements si possible. Et finalement, si vous êtes vu par l’adversaire, laissez tout tomber ce que je viens de vous dire … ET TIREZ DANS LE TAS !! COMMUNIQUER - C'est sans doute un des aspects les plus importants dans ce genre de jeu où la notion d’équipe est plus importante que dans plusieurs sports. Même si demeurer inaperçu est important, il faut parfois savoir quand briser le silence. Mieux vaut avertir vos collègues, en criant s’il le faut, que vous avez vu passé un adversaire se dirigeant vers eux plutôt que de laissé ce dernier prendre vos collègues par surprise. Ce qui pourrait être encore plus lourd de conséquence que le simple fait de dévoiler sa propre position. Et si l’adversaire vous a vu ou est au courant de votre position, laisser tomber la discrétion et faite tout le contraire. Parlez, criez, échangez le plus d'informations possibles avec vos collègues sur ce que vous voyez ou entendez. Informez-les de vos propres déplacements, du nombre d’adversaire que vous voyez, leur position, le nombre de victimes que vous faite, informez-les d’une situation critique ou d’une aide dont vous avez besoin ... Une équipe n'est pas une équipe si elle ne communique pas, c’est aussi simple que ça !! INTIMIDER – Le Paintball est un jeu physique mais aussi psychologique. On passe souvent par une large gamme d’émotion lors de situations tendues, spécialement si on a peu d’expérience dans ce sport. Néanmoins, même si certaines émotions sont à prescrire, comme la peur qui empêche de passer à l’action ou provoque parfois la colère, elles peuvent aussi servir à votre avantage. Lorsqu’on a peur, on agit parfois sans discernement, on fait des erreurs, on se laisse guider d’avantage par son instinct. Bref, un adversaire peu décider de sortir de son trou par peur d’y rester ou peut même se rendre en croyant la situation perdue d’avance. Et croyez-moi, ça arrive plus souvent qu’on pense. Ceci dit, il est possible d’augmenter cette peur chez l’adversaire en usant d’intimidation. Un de mes moyens favoris est de créer une tension en criant des instructions à mes collègues pour faire croire à l’adversaire que mon équipe au complet va lui tomber dessus d’un moment à l’autre. Là encore la communication est importante. Bien sûr, rien ne garanti qu’ils vont tenter de battre en retraite en croyant qu’il est encore temps, mais vous n’avez rien à perdre. Les exemples d’intimidation sont nombreux et je laisse le soin à votre imagination de voir comment tirer partis de ce genre de situation. RESITER – Si l’intimidation peu jouer en votre faveur, le contraire est aussi vrai. L’adversaire est peut-être prêt à vous prendre en souricière et vous n’avez aucun moyen de fuir. La pression du moment peut vous faire craquer et ne croyez surtout pas que c’est faut sous prétexte qu’il s’agit d’un jeu. La peur existe vraiment dans ce sport et c’est de surmonter cette peur qui fait monter en vous cette satisfaction tant recherchée. Mais encore faut-il la surmonter ! Vous n’avez donc pas trouvé d’issue et trois joueurs adverse viennent vers vous. Vous n’avez alors que deux options : Vous rendre…ou vous battre jusqu’au bout. Ça peut sembler prétentieux de ma part de tenter de jouer les héros mais je mets de côté mes opinions personnelles pour justifier mes dires par le simple bon sens. Si vous êtes éliminé, vous ne servez en rien votre équipe, donc mieux vaut retenir l’adversaire un maximum de temps. Le temps que les trois joueurs adverses s’occupent de vous, c’est du temps ailleurs contre le reste de votre équipe… et le facteur temps est important vous le savez sûrement! Une autre raison pour laquelle il ne faut surtout pas se rendre est que tant que vous n’êtes pas éliminé, il vous reste une chance. Je me suis souvent surpassé en me sortant de situations perdues d’avance et je veux bien me mettre la main dans le feu s’il vous arrive la même chose et que vous n’êtes pas en extase devant votre propre exploit, ou à la limite, juste un peu emballé. Vous ne vivrez jamais d’exploits personnels si vous ne vous dépassez pas vous-même, ça veut aussi dire de dépassé vos propres peurs. Et plus la difficulté était grande, la satisfaction en sera d’autant plus. Bien sûr, si vous vous sentez dépressif, une autre alternative consiste à se tirer une balle vous-même !! À vous de voir. SIMULER – Il est toujours pratique de faire croire à un adversaire les choses que l'on veut bien lui faire croire, et c’est encore plus vrai si l'on est dans un environnement qui nous le permet. Faire croire à des joueurs adverses que vous êtes accompagné par vos collègues est bien facile, et surtout bien pratique. Ça sème le doute et l’hésitation dans l’autre équipe et vous pouvez profiter de cette situation pour aller jusqu’à les intimider, et les retenir sur place si vous êtes suffisamment habile, le temps que les vrais renforts arrivent. Juste le fait de crier tout seul dans le vide « Jean-Marc !! Prend la gauche et Ben va prendre la droite…. NOUS AUTRES ON FONCE DEVANT…Y vont y goutter en…». Honnêtement ?? Sans savoir combien de joueurs adverses se trouvent devant vous, comment vous sentiriez-vous à entendre une telle phrase quand le joueur qui l’a crié n’a même pas pris la peine de chuchoter?? Le fait pour un joueur d’entendre une phrase qui dégage une telle assurance de la part de l’adversaire cause tout de même un léger doute dans le meilleur des cas. Doute qui pourrait même finir par pousser ce même joueur à se considérer de plus en plus comme une future victime. Mais ça peut surtout vous sauver la peau si vous êtes pris par surprise, mais probablement pour un court moment. Parce qu’il ne faut quand même pas se leurrer, les joueurs de l’autre équipe peuvent être naïfs, mais pas nécessairement stupides. Ils peuvent rapidement comprendre la supercherie selon votre adresse à les tromper, mais il ne faut surtout pas en abuser, ça peut jouer contre vous à la limite. Trois ou quatre fois dans une journée c'est amplement suffisant. Encore là, les exemples d’application sont nombreux allant de faire croire que vous avez leur drapeau avec vous (trouvez l’utilité), en passant par faire croire à un attaquant que son équipe vient de partir avec votre drapeau s’il ne le voit pas (criez-le à vos collègues et je vous jure que l’adversaire tournera sur ses talons pour rattraper son équipe partis sans lui), et même de faire croire dans une fusillade qu’il ne reste que vous et votre ami en criant à ce dernier que tout les autres se sont fait éliminer. Écoutez les alors planifier en chuchotant à tue tête une attaque massive contre deux joueurs alors qu’il en reste beaucoup plus. TENTER – Apprenez à prendre des risques, mais des risques calculés. Je veux dire par-là, et j’insiste là dessus, qu’il faut risquer lors d’actions possibles à réaliser. Bref, quand vous croyez que vous avez des chances de réussir … de bonnes chances! Maintenant on pourrait croire que j’incite les lecteurs à ne pas être plus agressif que ça. J’ajouterai donc ceci : Tentez prudemment, mais tentez souvent si vous voulez apprendre à évaluez de façon de plus en plus juste les possibilités d’une situation. Bien sûr, avec l’expérience viendra l’assurance, et avec l’assurance viendra davantage d’expérience. L’agressivité nécessaire pour devenir d’un calibre allant d’amateur jusqu’à professionnel doit s’apprendre progressivement. Et j’entends par-là l’agressivité au niveau du style et non au niveau de l’émotion. Savoir quand doser la pression sur l’adversaire, savoir quand foncer et quand battre en retraite sont des notions qui s’apprennent avec le temps. Il serait faux de croire qu’il suffit de serrer les dents un peu plus dans une partie pour avoir ce qu’il faut où il faut Demeurer réaliste et prudent est non seulement payant en terme de performance, non seulement positif en terme de sécurité, mais peu aussi s’avérer gratifiant. On a qu’à penser aux têtes enflées avec leur matériel de 3000$, sûr d’eux et sans peur, prêt à se ruer sur l’adversaire au début de la partie pour tout raser sur leur passage … et en train d’attendre au cimetière le reste du temps! Si tout les prétentieux que j’ai rencontré avaient agis avec sagesse et retenu tout en étant agressif dans leur style de jeu de façon adéquate, ils auraient peut-être eu la chance de se faire valoir, voir même d’en retirer la victoire. Voilà qui trace, je crois, les grandes lignes de ma vision d’un joueur talentueux. Il va sans dire que toutes les choses que je vous ai dites demeures sujettes au changement, et ce selon nos propres besoins ou style de jeu. Il faut juste tirer profit de ce que l’on est capable de faire, mais de le faire avec jugement. Tout le reste vient avec l’expérience, l’échange et l’apprentissage, autant au niveau matériel que pour les aspects techniques plus avancés. J’espère que le tout vous sera utile pour vous aider dans vos victoires futures !! Mais ne croyez pas cependant que vous retiendrez tout pour votre prochaine partie. À vrai dire, c’est d’en parler souvent, de jouer souvent, de pratiquer souvent et … de lire souvent qui va vous servir vraiment! On a maîtrisé quelque chose quand on a plus à penser à le maîtriser. Bonnes parties !! |
Sdeejay de Montreal |
Les jeux à succès du paintball
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Capturez le drapeau (Capture the flag) Capturez le drapeau est le jeu le plus généralement jouée. Deux équipes chacune commence à un fort à différentes extrémités du terrain de jeu, que ce soit dans un bois, ou un village, ou même un speedball. L'idée est d'obtenir l'autre drapeau et de l'apporter à votre fort. C'est la version la plus classique et une des plus efficace. Le drapeau central (The centre flag) Le jeu du drapeau central est un jeu particulièrement intéressant. Un drapeau au centre du terrain de jeu et de deux équipes commençant à chaque extrémités. Le but est d'aller chercher le drapeau au centre et d'aller le porter dans le fort de l'équipe adverse. Le président (President's Men) Une personne est le président et n'a pas de pistolet. Il a 4 ou 5 hommes autour de lui qui doivent le protéger pour une durée donnée. Ils peuvent avoir un trajet à parcourir. Le reste des joueurs joue au terroriste qui veulent éliminer le président. La partie finie quand le président est éliminé. L'île de Paris (Paris Island) Dans ce jeux un petit groupe (5 hommes) doivent protéger le drapeau qui est placé au centre d'un triangle formé de 3 bunkers. Le petit groupe se cache dans ces derniers et essaye de protéger le drapeau. L'autre plus grand groupe doit obtenir le drapeau et le sortire, en outre de l'île, hors du triangle de bunkers. Prédateur et proie (Predator Prey) Un petit groupe (4 hommes) de prédateurs sont vont ce cacher dans la forêt. Ensuite le reste du groupe, les proies, parte à leur recherche pour les éliminer. Quand un prédateur est touché, il est éliminé et doit sortire du terrain. Mais si un prédateur élimine une proie, le joueur de proie devient un nouveau prédateur. Ainsi le but du jeu pour le prédateur est d'augmenter leurs nombres et proliférer, alors le but pour la proie est de tuer tous les prédateurs. La chasse au lapin (Bunny Hunt) Très simple, un des bons joueurs, le lapin, va ce cacher dans une grande forêt et un groupe de joueurs, les chasseurs, parte à sa recherche pour l'éliminer. La Tag Gellé (Freeze Tag) C'est une variation qui peut s'appliquer à plusieurs autres jeux. Quand un des joueurs ce fait éliminé, il reste couché par terre à l'endroit ou il s'est fait toucher. Il est Gellé ! Un autre joueur de son équipe peut venir lui toucher avec sa main pour le dégelé ! L'hotage (Hostage Rescue) Une équipe de secoure doit aller sauver un otage prisonnier de l'autre équipe et le retourner "à la maison" indemne. Tuer le chef (Kill the Leader) Chaque équipe a un chef, et chaque équipe a comme but de tuer le chef de l'autre équipe. Chaque équipe doit défendre leur chef. Ceci peut devenir intéressant quand un traître est présenté de chaque côté. Un joueur est un traître et peut se retourner contre ses coéquipiers, habituellement indiqués par l'arbitre. Cependant, ajouter des traîtres rend le jeu plus embrouillant. Le porteur de drapeau (Run the Flag) Deux équipes, chacune commence à son extrémité du terrain. Chaque équipe tien dans c'est main le drapeau. Le but est de charger l'équipe adverse et d'aller déposer le drapeau dans le fort adverse. Attaque Défense Dans ce jeu, une équipe légèrement plus petite ce fortifie en un lieu stratégique (forteresse, bunkers, colline, etc …) et attend une attaque imminente de pied ferme. L'autre équipe légèrement plus grosse doit prendre la position et éliminer toute résistance. Foulard (Get the Bands) Chaque joueur porte un foulard. Il n'y a aucune équipe et tout le monde est contre tout le monde. Quand vous éliminer un joueur vous lui prenez son foulard. À la fin de la partie celui qui a le plus de foulard gagne. Le terminator (Terminator) C'est un bon jeu pour finire la journée. Un ou deux
joueurs sont les terminator. Ils ont un X en ruban adhésif
" tape " de coller sur la poitrine. Il faut les
toucher sur le X pour qu'il soit éliminé. |
Chuck de Québec |
Les types
de joueurs du Paintball en forêt. Sniper: Le
joueur qui préfère le camouflage lent aux attaques maladroites. Il préfère
une position stable qui lui permet un tir de précision. Il peut jouer
des positions offensives mais il reste d’avantage en arrière garde.
Il est rarement éliminé mais habituellement il fait peut de victime. Kamikaze: L'opposé
du sniper. Préfère
attraper l'ennemi avec la tactique de l’offensive rapide.
Offre des possibilités de créer des pertes ennemies élevées.
Se cache seulement si nécessaire.
Très utile mais souvent éliminé. Il réussit souvent à désynchroniser
les attaques ennemies. Le scout : Le joueur se déplace d'un secteur
de bataille au prochain, essai d'aider des camarades qui sont sous
l’agression ennemie. Ce joueur renforce la ligne de front ou l’équipe
à des problèmes. Par
contre il crée des troues sur le territoire qu’il était
supposer couvrire. Commando : Son
idée fondamentale, tirer
et se déplacer afin d'obtenir une meilleure position. Il se déplace
d’obstacle en obstacle utilisant moyennement le camouflage. Il est
capable de combattre avec de multiple opposant et d’aller chercher le
drapeau. Trappeur : Ce
joueur peut ressembler au sniper mais il n’en est pas vraiment un. Ce
joueur patient et stratégique fait une embuscade et attend que
l’ennemie passe très prêt de lui pour les éliminer.
Pas la stratégie la plus efficace pour chercher le drapeau mais
il est meilleur pour le défendre. Le Général:
Le général est un commandant de champ qu'il veut que ses
troupes se déplacent efficacement.
Le joueur essaye de créer des assauts structurés sur
l'opposition. Il déteste
les style de Kamikaze, de Lonewolf et de terminator dus au manque de
travail d'équipe. Dernière ligne:
Exige que le joueur devienne la dernière ligne de la défense.
Ce joueur doit être précis, furtif et patient afin de défendre
le drapeau. Le joueur qui
perform dans ce type est très rare. Les nouveaux joueurs sont
habituellement placés à cette position par des vétérans dus à leur
manque de compétence malgré que cette position reste très importante. Duo Dynamique:
Le Batman et Robine du groupe, normalement amis ou habituer du
terrain. Ces joueurs fonctionnent ensemble et compte un sur l’autre.
De façon générale habituellement ils sont au-dessus des joueurs
moyens. Ils sont capables
d’opérer en terrain avancé et ils peuvent causer de très lourde
perte à l’ennemie. Leur grosse faiblesse, quand 1 des 2 est éliminé. Lonewolf: Le
type de gars à faire une armée à lui tout seul.
Habituellement un joueur global très bon.
Peut prendre toutes les position.
Bon pour des manœuvres qui font du dégât. Peut avoir de la
difficulté à travailler avec les autres du groupe. Il est vraiment un
joueur très fort. |
Jeff de Québec |
Le pilot MIA. (Missing In Action) |
Voici un petit scénario qui permet de changer la routine.
Une équipe « Rouge », les méchants en
quelque sorte, part à sa recherche pour l’éliminer. Si le pilote est éliminer par les Rouges, les
Rouges gagnent. |
Eric de Québec |
Intimidation stratégique |
Gagner, cé mental man !!! |
CHK de Québec |